Médréac

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Médréac
De haut en bas: Vue de Médréac, La mairie.
Image illustrative de l’article Médréac
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Saint-Méen Montauban
Maire
Mandat
Serge Collet
2020-2026
Code postal 35360
Code commune 35171
Démographie
Gentilé Médréaciens
Population
municipale
1 837 hab. (2021 en augmentation de 1,49 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 16′ 02″ nord, 2° 04′ 02″ ouest
Altitude 96 m
Min. 45 m
Max. 137 m
Superficie 35,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montauban-de-Bretagne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Médréac
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Médréac
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Médréac
Liens
Site web www.medreac.fr

Médréac est une commune française peuplée de 1 837 habitants[Note 1] située dans l’arrondissement de Rennes, dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne. La ville se situe en Haute-Bretagne — partie orientale de la Bretagne. Elle se trouve à 387 km de Paris, 40 km de Rennes, 27 km de Dinan et 60 km de Saint-Malo[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village est situé dans l'ouest de la France, à l'ouest du département d'Ille-et-Vilaine, sur l'axe de communication entre le bassin parisien et l'océan Atlantique. Selon la géographie des régions naturelles de France, Médréac se trouve dans le pays de Saint-Malo.

Il est distant de 60 km de Saint-Malo, 86 km de Fougères et 99 km de Redon, sous-préfectures d'Ille-et-Vilaine; de 40 km de Rennes, capitale régionale; de 387 km de Paris.

Médréac se trouve à 45 km de la Manche (Beaussais-sur-Mer) et 100 km de l'Océan Atlantique (Vannes)[1].

Avec une superficie de 35,02 km2, Médréac est la 3e commune la plus étendue de la communauté de communes de Saint-Méen Montauban (sur 17) et la 47e d'Ille-et-Vilaine (sur 333).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Médréac fait partie du bassin Loire-Bretagne qui est géré par le comité de bassin Loire Bretagne.

Médréac possède une rivière au nord de la commune, le Néal[2]. Celui-ci sert de limite entre Médréac et Plouasne et par la même occasion entre l'Ille-et-Vilaine et les Côtes-d'Armor. Il est alimenté par les ruisseaux du Saint-M'Hervon[3] et du Moulin Bouvet.

Les cours d’eau inventoriés sur l’ensemble du territoire communal atteignent un linéaire de 36,7 km. Les autres écoulements recensés et ne présentant pas les caractéristiques de cours d’eau représentent un linéaire total de 14,13 km. Il s’agit soit d’écoulement situés en tête de talwegs, soit d’écoulements secondaires et transverses le long des parcelles. Au total, tous ces écoulements recensés atteignant donc un linéaire de 50,83 km.

On compte ensuite 45 plans d’eau ou mares totalisant environ 7 ha. Et il y a enfin des zones humides qui représentent 193 ha si l'on inclut mares et plans d'eau.

Toutes ces zones totalisées font 193 ha, soit 12 % de la commune[4],[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[7]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Quiou à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Médréac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,4 %), terres arables (40,1 %), prairies (3,7 %), forêts (3,7 %), zones urbanisées (2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Médréac possède 195 hameaux.

Liste des hameaux[19]
Beau Soleil La Bretonnière La Mauvaisinière La Ville aux Rolands Le Bois Gaultier Le Pont Brillant Les Vaux
Beauchez La Champagne La Mignerette La Ville Beaucher Le Bois Gérault Le Pré Renault Lillou
Beauregard La Chesnais La Motte La Ville Dros Le Bois Gesbert Le Préez Louche
Bellevue La Cohelière La Noë Lebert La Ville Eon Le Bois Gesbert du Bas Le Pré Torel Malnoë
Bouillant La Coudraye La Perroquinais La Ville Evrard Le Bois Jaillard Le Recoudet Moulin du Bois Gesbert
Briselaine La Croix au Beau La Petite Ferrière La Ville Gautrin Le Bois Janou Le Rotouer Parvoisin
Caharel La Fontaine Le Run La Petite Ville La Ville Gentille Le Carrefour Le Rouvray Pérouse
Carcouvran La Forge Cholette La Planche Cauchette La Ville Grison Le Champ Blanc Le Tertre Pinvert
Casros La Fouaillée La Plesse La Ville Guillaumin Le Champ Renard Les Bas Champs Poudouvre
Champ de Cuir La Frenais La Porte de la Costardais La Ville Joubeaux Le Chatel Les Berthelots Quéhernic
Clos Huré La Garenne La Querhaudais La Ville Ramandé Le Chauchix Les Champs Gorrons Quéhugan
Coterel La Gesmeraye La Rabine La Ville L'Hôtel Le Chêne Clément Les Chapelles Quéneleuc
Demois La Gesnuaye La Ragotière La Ville Louvette Le Chêne Corbin Les Clos Neufs Querhault
Foësne La Grand Ville La Réauté La Ville Morin Le Chénot Les Communs Quérier
Gasselin La Grande Bouexière La Reculais La Ville Neuve Le Cimetière Anger Les Courselles Quérier Bunouf
Geslouard La Grande Ferrière La Reculais du Bas La Ville Orient Le Clos Collet Les Courtues Romé
Guenou La Houssais La Renaissance La Ville Ratel Le Clos des Landes Les Crossais Siaume
Havouye La Haute Fusnais La Roche Tambelle La Ville Richard Le Clos Ferrier Les Evais Trégeuneuc
Himé La Mayonnais (ou Magnonais) La Ruelle des Landes La Ville Simon Le Clos Picault Les Grandes Hayes Trélibeuf
L'Homme Têtard La Haute Potinais La Sage Ville Lanesse Le Clos Rosel Les Grands Aulnais Ville Robel
L'Hyvet La Haute Martinais La Touche Lanjégu Le Feuil Les Hayes Renault
La Barricade La Jaillette La Vieux Ville Laudenaye Le Fouil Les Lohits *La Basse Potinais
La Basse Bouexière La Josselinais La Ville au Franc Launay Jean Le Grand Launay Les Marches
La Basse-Cour La Lande du Tertre La Ville au Marchand Launay Robert Le Grand Pré Les Mordais
La Basse Fusnais La Lande Ozanne La Ville au Poc Launay Gou Le Gros Chêne Les Ouches
La Basse Gesmeraye* La Maison Neuve La Ville Auvêque La Bas Quérault Le Gué Aufeuvre Les Petits Aulnais
La Belle Epine La Mare Journaux La Ville aux Chevriers Le Beau Chêne Le Hel Les Ros
La Belle Eschère La Martinais La Ville aux Fertots Le Bignon Le Plessix Blanc Les Rouvrais
La Boulais La Marvonnette La Ville aux Pierres Le Bois de Gourgouhou Le Pont au Ladre Les Touches

Logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements à Médréac était de 889.

Parmi ces logements, 83,1% étaient des résidences principales, 3,4% des résidences secondaires et 13,5 % des logements vacants. La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 73,6%[20].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par trois routes départementales: la D61, la D21 et D220. Il y a également de nombreuses routes communales et rues.

Médréac est accessible par la route nationale 12 en prenant la sortie Quédillac, Bécherel, Médréac[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Modoriacum en 835 - 838[22],[23]; Motoriac en 868[22],[23]; Medreac en 1295 et 1448[23].

Selon Albert Dauzat, toponyme gallo-roman en -acum basé sur l'anthroponyme *Motorius (non attesté), variante du nom de personne latin Motarius[22].

Méderya en gallo[23].

Ses habitants sont appelés les Médréaciens et les Médréaciennes[19].

Extrait de la Tabula ducatus britanniae gallis (XVIIe siècle), où l’on peut lire "Médréac"[24]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le cartulaire de l'abbaye de Redon mentionne Médréac pour la première fois vers 835 / 838, époque à laquelle un prêtre nommé Joumenx, donna à son cousin Ridweten, prêtre lui aussi, une terre portant le nom de Ran Bistlin, à condition pour Ridweten de réciter au choix 400 psautiers ou messes. Ridweten accepta et cette petite donation fut faite en Médréac devant plusieurs témoins.

Entre 841 et 848, Ridweten décida de léguer tout son patrimoine à l'Abbaye de Redon, comprenant les terres de Coëtbot, Lis Ros et Ran Bistlin. Ces terres devaient des rentes et des services à la noble Dame Roïantdreh, qui dut posséder les droits de machtiern, c'est-à-dire chef de plou (« paroisse »), et qui habitait à cette date à Maëlcat (aujourd'hui Plumaugat).

Conwoion, abbé de Redon, dut alors demander à cette dame de céder à l'abbaye de Redon tout ce qu'elle exigeait de ces terres, c'est-à-dire une redevance en grains, et une redevance en argent. Roïantdreh accepta et les tenanciers de ces terres situées en Motoriac, apprirent un matin de 863, cette donation. Enfin, en 872, le prêtre de Médréac, Catwotal, qui succéda à Ridweten, donna à l'abbaye le derniers tiers de la terre de Ran Bistlin.

Aux XIIIe siècle et XIVe siècle, Médréac constituait une vicomté, beau et grand fief, lequel était distrait de la baronnie de Bécherel. Elle s'étendait dans la paroisse de Médréac et ses environs, dès 1370, aux De Beaumont, originaires de Longaulnay[25],[19].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Médréac fut démembrée de l'antique seigneur de Bécherel au début du XVIe siècle, tandis que les sires de Beaumanoir du Besso, alliés aux De Beaumont, en devinrent les propriétaires. L'un des propriétaires, Jacques de Beaumanoir, fut échanson du roi Francois Ier[26].

En 1590, la vicomté de Médréac fut achetée par le seigneur de la Costardais.

Cette seigneurie appartint ensuite aux Ferron et aux Glé. En 1679, Gabrielle Glé obtint du roi Louis XIV des lettres patentes unissant à la seigneurie de la Costardais, la vicomté de Médréac, le Fief des Nobles de Médréac, la baronnie de Bécherel et la terre noble de Poudouvre en cette même paroisse. Le tout fut uni en une haute juridiction ou haute justice et la vicomté de Médréac disparut au profit du Comté de la Costardaye. La famille Glé et la seigneurie étaient à son apogée. Sept paroisses et trente fiefs s'étendant sur Médréac, Guitté, La Chapelle Blanche, Quédillac, Saint Pern, Plouasne et Guenroc, en dépendaient. La haute juridiction s’exerçait dans le bourg de Médréac, qui était doté d'une prison et d'un auditoire. Gabrielle de Glé fut le dernier membre de la famille à tenir la seigneurie, puisqu'elle épousa le marquis de La Vallière[27].

La seigneurie, après le marquis de La Vallière passa dans les mains de Coëtmadeuc, des Querhoënt et enfin des De Langle. Jeanne de Robien, femme de Louis Jean De Langle fut la dernière Dame de Médréac[19],[25].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La Révolution a été une période particulièrement mouvementée à Médréac car une partie de la population participa à la Chouannerie. La 1ère cause est religieuse : la liberté religieuse n'est pas reconnue si bien que le recteur Mathurin Aubry est en exil, le vicaire Louis André Delaunay est en prison et les chapelains Pierre Tiengou et Jean Crespel doivent vivre dans la clandestinité. La foi est en péril. La 2ème cause est politique : sous l'influence de la noblesse, la population milite pour la restauration du roi.

Les premières émeutes se déroulèrent en mars 1793 lors de la levée de 300 000 hommes décrétée par la Convention le 24 février. Le contingent devait être de 26 hommes pour Médréac. Comme il n'y eut pas de volontaires, des citoyens furent tirés au sort. Tous les villages du canton de Montauban se mobilisèrent à Montauban pour montrer leur mécontentement. L'attroupement de Médréac fut conduit par le maire Gabriel Sévin. Les forces de polices rétablirent l'ordre à Montauban et les paroisses environnantes. La Convention lança un décret le 19 mars punissant de mort les émeutiers. Gabriel Sévin fut condamné à mort.

Dès 1794, la Chouannerie à Médréac s'organisa avec à sa tête Joseph Picot de Limoëlan. Leur combat prit la forme d'une guérilla contre les républicains. Un des évènements marquant fut le meurtre par les révolutionnaires de l'abbé Janvier, prêtre de Quédillac, des abbés Crespel et Tiengou, prêtres de Médréac le 22 février 1796[28],[29],[30],[31]. Malgré des mesures menées par les révolutionnaires pour en finir avec l'interminable guerre comme l'installation d'un cantonnement républicain en mai 1796 à Médréac, les troubles continuèrent jusqu'en 1801. En 1801, Médréac fut pacifiée par l'envoi de gendarmes et surtout par l'acte du premier consul proclamant la liberté des cultes et restaurant officiellement en France la religion catholique par le Concordat.

Pendant les Cents-jours, Louis XVIII envoya le marquis de la Boissière en mai 1815 en Bretagne pour organiser la résistance. Félicité de Botherel étant mort sous l'Empire, Henry Du Boishamon reçut, avec le brevet de colonel, l'ordre de prendre le commandement de la 6ème légion contre les bonapartistes. Elle fut maintenue en activité jusqu'au 10 septembre 1815[25],[32],[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Médréac appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Montauban-de-Bretagne.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis 2022 par Claudia Rouaux (PS). De 1857 à 1958, Médréac appartenait à la circonscription de Monfort et de 1958 à 1986 à la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine.

Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
février 1790 décembre 1792 Joseph Delaunay   Avocat
décembre 1792 mai 1793
(condamnation à mort)
Gabriel Sévin    
mai 1793 1795 Jean-Marie Tiengou    
1800 mai 1809
(décès)
Joseph Delaunay    
1809 octobre 1830 Jean-Baptiste Collet    
octobre 1830 octobre 1843 Jean-Baptiste Thomas   Notaire
octobre 1843 novembre 1846 René Lebourdais    
novembre 1846 novembre 1860 Jean Ruault    
novembre 1860 mai 1871 Joseph Gaudin    
mai 1871 octobre 1876 Joseph Carillet    
octobre 1876 janvier 1886 Jean-Marie Terra    
janvier 1886 juin 1888 Henri Dartois    
juin 1888 mai 1896 Victor Crespel    
mai 1896 mai 1912 Eugène Crespel   Cultivateur
mai 1912 octobre 1936 Joseph Carillet   Cultivateur
novembre 1936 mars 1944 Francois Grison    
mars 1944 janvier 1945 Émile Gourga    
janvier 1945 mai 1945 Alain Ruault, Eugène Griel, Marcel Boulanger    
mai 1945 juillet 1952
(démission)
Émile Gourga    
août 1952 mars 1977 Roger Ribault    
mars 1977 mars 1987
(décès)
Gabriel Faramin   Épicier
avril 1987 mars 1989 Irène Faramin   Épicière
mars 1989 mai 2020 Jean-Claude Omnès SE Chef d'entreprise
mai 2020 En cours Serge Collet[34]   Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 1 837 habitants[Note 4], en augmentation de 1,49 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 2782 1502 3372 2382 2752 1232 2352 3242 328
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2852 2892 4232 4502 5442 5272 5472 6502 757
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5412 5322 5222 1572 0252 0542 0661 8301 711
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6541 6311 5561 5121 4601 4951 7581 7951 829
2017 2021 - - - - - - -
1 8271 837-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Naissances et décès domiciliés[39],[40]
2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
Naissances domiciliées 27 27 31 31 26 30 23 18 23 19 26 20 20 17 18
Décès domiciliés 15 15 8 11 23 19 24 21 21 22 19 23 22 18 21

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'enseignement primaire à Médréac relève de l’académie de Rennes[4],[41].

Pour le calendrier des vacances scolaires, Médréac est en zone B[42].

Liste des écoles de la commune
Niveau Public Privé
Primaire Ecole des 7 loups[43] Ecole Saint Joseph

Santé[modifier | modifier le code]

En 2022, la ville compte trois médecins généralistes, un chirurgien dentiste, un ostéopathe, un masseur-kinésithérapeute et deux infirmières. On compte également une pharmacie et un Ehpad, l'établissement les Menhirs, pouvant accueillir 47 personnes[44],[4].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population[modifier | modifier le code]

En 2019, le revenu moyen par ménage médréacien est de 21 480  par an, ce qui est légèrement inférieur à la moyenne nationale de 22 040  par an[45]. Concernant la fiscalité, on ne dénombre aucun Médréacien redevable de l'impôt sur la fortune (ISF)[46].

Emploi[modifier | modifier le code]

Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone[46]
2008 % 2013 % 2019 %
Ensemble 780 100 804 100 809 100
Travaillent:
Dans la commune de résidence 197 25,2 185 23,0 176 21,8
Dans une commune autre que la commune de résidence 584 74,8 619 77,0 633 78,2

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

Médréac possède quatre monuments historiques: trois sont issus du patrimoine architectural et un du patrimoine mobilier[47].

Site mégalithique[modifier | modifier le code]

Tout au nord de la commune, à près de trois kilomètres du bourg près du lieu-dit le Chénot, on trouve un important site mégalithique érigé entre 5000 et 2500 avant Jésus-Christ[48] :

Des fouilles effectuées sur le site vers 1930 et reprises en 2002 ont permis de découvrir quelques objets dignes d'intérêt: des grattoirs et des lamelles utilisées vers l'an 3000 avant Jésus-Christ, mais aussi des haches romaines, dont certains spécimens sont exposés au Musée de Bretagne à Rennes[52],[19].

Croix du cimetière[modifier | modifier le code]

La croix du cimetière, construite au XVIe siècle par Alain Piteau, a été classée par l’arrêté du [53]. Selon une note de l'abbé Sevin, parue dans le bulletin paroissial de juillet 192, la croix dressée en bordure du cimetière actuel, route de Bécherel, provient du précédent cimetière qui entourait l'église[19].

Orgue[modifier | modifier le code]

Construit par René Fiquémont, l'orgue a été inauguré le 13 septembre 1868. Il a ensuite été démonté au moment de la construction de la nouvelle église, et remonté en 1922 par Georges Claus. Il a été classé par l'arrêté du 14 décembre 2012.

Sur deux claviers et un pédalier, l'orgue comporte 12 jeux (11 réels et 1 emprunt), chacun pouvant être considéré comme un instrument de l'orchestre, pour un total de 530 tuyaux, en bois ou en étain[54],[19],[55],[56]. Il a été restauré en 2021-2022 par Gwennin L'Haridon, facteur d'orgue installé à Forges de Lanouée (Morbihan).

Église[modifier | modifier le code]

Trois églises ont vécu dans le centre du bourg. La première a dû être construite au huitième ou neuvième siècle.

Aux XVIe et XVIIe siècles, l'église est rebâtie et est consacrée en 1643 sous le nom d'église Saint-Pierre. Cette bâtisse possédait une tour carrée massive à l'ouest, une nef relativement étroite et deux chapelles asymétriques. Elle se trouvait surmontée d'un clocheton un peu affaissé à sa base sud, si bien qu'il penchait sérieusement. Sa porte principale était flamboyante et finement décorée. Sa façade sud portait un cadran solaire et possédait une porte en arc brisé. Cette nouvelle église, même si elle demeurait plus grande que la précédente, était, manifestement, encore trop exiguë pour les 2500 habitants de Médréac. Ce furent alors les abbés Gernigon puis Sevin qui décidèrent de la construction d'une nouvelle église.

La nouvelle église fut achevée en fin d'année 1913. Cet ouvrage, dessiné par Arthur Regnault, fut remarquablement réussi, alliant élégance extérieure avec un clocher bien effilé, de surcroît décalé, somptuosité intérieure, clarté exceptionnelle et richesse des vitraux. Les abbés Gernigon et Sevin mériteront bien de reposer en cette église à la demande de la population. Notons que les armoiries de la famille noble Glé, sont visibles sur la façade est de l'église. De magnifiques pierres tombales reposent également dans l'entrée de la porte sud. Nombres d'ouvertures de cette église proviennent de l'ancienne[25],[19].

Cimetière et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Cimetière[modifier | modifier le code]

À la suite du décret impérial du 23 prairial an XII (12 juin 1804), obligeant le creusement de fosses séparées et le transfert des lieux de sépultures hors des agglomérations, le cimetière entourant l'église est transféré sur la route de Bécherel. La dernière inhumation dans le cimetière de l'église survint le 16 octobre 1884. Des travaux d’embellissement furent menés en 2013.

On peut remarquer à l'entrée deux lions portant les armoiries des Glé issus de l'ancienne église[25],[19].

Lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Médréac possède deux lieux de mémoire :

  • Le monument aux morts situé place de la Mairie commémore les enfants de Médréac morts pour la France. Les noms des 113 soldats de Médréac morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale sont gravés sur le marbre ainsi que 11 soldats morts pour la France lors du conflit de la Seconde Guerre mondiale et deux autres soldats lors de la guerre d'Algérie[57]. D'autre part, une plaque commémorative est apposée dans l'église Saint-Pierre de Médréac : « À la mémoire des enfants de la paroisse de Médréac morts pour la France - Honneur Devoir Foi Sacrifice - Morts pour la France »[58]. Par la loi du , l'État lance le projet d'un livre d'or comprenant les noms de tous ces héros jusqu'alors anonymes[59], qui serait déposé au Panthéon. Le ministère des Pensions, nouvellement créé, est chargé d'établir, à partir du fichier existant, la liste des morts pour la France de chaque commune.
  • Le carré militaire de la guerre 14-18, situé dans le cimetière communal.

Autres sites et monuments[modifier | modifier le code]

  • La grotte à Gabillard, lieu de refuge de Jean Julien Gabillard, ancien résistant chouan[4].
  • Le château de la Costardais, construit en 1564, fut détruit dans les années 1930 pour cause de délabrement. Le puits, la basse-cour et la grange sont les seuls vestiges de la propriété[25],[19].
  • La gare de Médréac, située sur l’ancienne ligne La Brohinière − Dinan, fut ouverte en 1896. Elle tourna à plein régime jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, puis son trafic alla toujours en s'amenuisant. Désaffectée depuis 1983, elle a été réhabilitée pour y installer un espace muséographique. La voie ferrée accueille un parcours de « vélo-rail »[60],[25]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Médréac dans les arts[modifier | modifier le code]

Médréac a été une source d'inspiration pour Emile Bernard qui, lors de son passage dans la commune en 1891, peignit les habitants à la sortie de la messe.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Livres généraux[modifier | modifier le code]

  • Allée Christophe, Médréac, Médréaciens, votre histoire, 1992.
  • Verger Joseph, Si Médréac m'était conté, Yellow Concept, 2013.

Livres spécialisés[modifier | modifier le code]

  • Lemasson Auguste, Souvenirs de la Révolution et de la Restauration: Stevenot le forçat-colonel, les chouans de la division Médréac-St-Méen, 1936.
  • Neveu Emmanuel, La Chouannerie, 1972.

Mémoires[modifier | modifier le code]

  • Piel Sandrine, Les prénoms à Bécherel, Landujean, Médréac et Romillé de 1690 à 1850, 1997.
  • Tual Jimmy, Religion et cultures dans une paroisse d'Ille-et-Vilaine au 19e siècle : Médréac (1801-1906), 2004.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Calculez la distance entre deux villes! », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Sandre, « Le néal [J0626600] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  3. Sandre, « Ruisseau de saint-m'hervon [J0628500] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  4. a b c et d « Médréac : Site de la commune », sur medreac.fr (consulté le ).
  5. « COMMUNE DE MEDREAC : INVENTAIRE DES ZONES HUMIDES ET DES COURS D'EAU | Observatoire de l'environnement en Bretagne », sur bretagne-environnement.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Médréac et Le Quiou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Le Quiou » (commune du Le Quiou) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b c d e f g h i j k et l Joseph Verger, Si Médréac m'était conté, Yellow Concept,
  20. « Comparateur de territoires − Commune de Médréac (35171) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  21. « Médréac · 35360, France », sur Médréac · 35360, France (consulté le ).
  22. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 445a.
  23. a b c et d Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 114
  24. « Bretagne. Tabula ducatus britanniae gallis. Le gouvernement général de Bretagne in suos novem episcopatus omnes Turonensi Aurel », sur Gallica, 16.. (consulté le ).
  25. a b c d e f g et h Christophe Allée, Médréac, médréaciens, votre histoire,
  26. a et b Jean Ogée, Dictionnaire historique et geographique de la province de Bretagne, dedie a la nation Bretonne, Vatar, (lire en ligne)
  27. Gaston Louis Michel Marie baron de Carné, Revue historique de l'Ouest, Bureaux de la Revue., (lire en ligne)
  28. Chanoine François-Marie Tresvaux du Fraval, Histoire de la persécution révolutionnaire en Bretagne, D'Adrien Le Clere et Cie, (lire en ligne)
  29. Aimé (1758-1842) Auteur du texte Guillon, Les martyrs de la foi pendant la Révolution française, ou Martyrologe des pontifes, prêtres, religieux, religieuses, laïcs de l'un et l'autre sexe qui périrent alors pour la foi. Volume 4 / : par M. l'abbé Aimé Guillon,..., (lire en ligne)
  30. Aimé (1758-1842) Auteur du texte Guillon, Les martyrs de la foi pendant la Révolution française, ou Martyrologe des pontifes, prêtres, religieux, religieuses, laïcs de l'un et l'autre sexe qui périrent alors pour la foi. Volume 3 / : par M. l'abbé Aimé Guillon,..., (lire en ligne)
  31. Aimé Guillon, Les Martyrs de la foi pendant la Révolution française ou Martyrologe des pontifes, prêtres, religieux, religieuses, laïcs de l'un et l'autre sexe qui périrent alors pour la foi, chez Germain Mathiot, (lire en ligne)
  32. Emmanuel Neveu, La Chouannerie, St-Hilaire du Harcouët, Abbé Hodebert, , 169 p. (lire en ligne)
  33. Joseph Verger, Si Médréac m'était conté, Yellow Concept, , 478 p. (ISBN 978-2-36063-059-2), p. 271-298
  34. Ouest-France, « Médréac. Serge Collet prend les rênes de la commune », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « Naissances et décès domiciliés 2007-2015 − État civil – Résultats pour toutes les communes, départements, régions, intercommunalités... | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  40. « Naissances et décès domiciliés 2014-2020 − Commune de Médréac (35171) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  41. « Accueil | Académie de Rennes », sur ac-rennes.fr (consulté le ).
  42. Vacances Scolaires Gouv, « vacances-scolaires-gouv ≡ Calendrier Officiel 2022-2023 • Zones vacances académiques A, B, C, Corse, DOM-TOM & Outremer », sur vacances-scolaires-gouv.com (consulté le ).
  43. « Ecole Publique des Sept Loups de Médréac », sur Ecole Publique des Sept Loups de Médréac (consulté le ).
  44. « Les Menhirs – Retraite Brocéliande » (consulté le ).
  45. « insee.tbef », sur insee.fr (consulté le ).
  46. a et b « Dossier complet − Commune de Médréac (35171) | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  47. « Liste des notices pour la commune de Médréac », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. Les alignements mégalithiques de Lampouy, en Médréac (35), Yvan Onnée, André Corre, Jean-Luc Javré, Bernard Monnier, CERAPAR, Les Dossiers du Ce.R.A.A., 31, 2003, p. 39-52, lire en ligne
  49. Notice no PA00090625, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. Notice no PA00090628, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. Notice no PA00090627, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Collections du Musée de Bretagne ».
  53. Notice no PA00090626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Association pour la Promotion de l'Orgue en Ille et Vilaine - Inventaire - Orgue - Médréac - 35360 Médréac », sur orgues35.com (consulté le ).
  55. « Recherche - POP », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  56. PUR, Orgues en Ille-et-Vilaine, Rennes, Presses Universitaires Rennes, (ISBN 275350153X), p. 175
  57. Le site de France-Genweb retrace l'identité de ces combattants médréaciens (régiment, classe, grade, matricule, lieu et cause de décès, voire parents, sépultures et décorations.
  58. Tableau commémoratif de l'église (Relevé n° 69754)
  59. Livre d'Or du ministère des pensions (Relevé n° 75243)
  60. Site de la gare de Médréac
  61. « Tour de France - L'étape de samedi : au cœur de la Bretagne », sur lematin.ch, Le Matin (consulté le ).
  62. Dominique Barbier, Louise du Bot du Grégo: Chouanne, amoureuse, intrigante, BoD - Books on Demand, (ISBN 978-2-322-12806-8, lire en ligne)
  63. Journal des patriotes de 89, (lire en ligne)
  64. Etienne Michel Faillon, Mémoires particuliers pour servir à l'histoire de l'Eglise de l'Amerique du Nord, Poussielgue-Rusand, (lire en ligne)
  65. Jules Lair, Louise de la Vallière et la jeunesse de Louis XIV.: d'après des documents inédits, avec le texte authentique des lettres de la duchesse au maréchal de Bellefonds, E. Plon et cie, (lire en ligne)
  66. a et b Emile Ducrest de Villeneuve, Guide historique & statistique du Département d'Ille & Vilaine. Par E. D. V. [i.e. E. Ducrest de Villeneuve] ... Avec nouvelle carte gravée sur pierre, Imprimerie lithographique Landais&Oberthur, (lire en ligne)
  67. Christophe-Paulin de La Poix Fréminville (chevalier de) et G. Bouffard, Histoire de Bertrand Du Guesclin ...: considérée principalement sous le rapport stratégique, poliorcétique et militaire ... destinée à l'usage des officiers de l'armée française et des élèves des écoles militaires du royaume, A. Proux et cie, (lire en ligne)